Call of Duty 4 Modern Warfare -- Review sur SoloGamerTest

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Narration
Jouabilité & Gameplay
L'image
Le son
Note générale


Testé sur :

   


La version Xbox 360 est compatible avec :

 


Aussi disponible sur :

 


Sortie du jeu : novembre 2007
Développeur : Infinity Ward
Editeur : Activision
Genre : FPS

Version testée : française
Doublage : français
Textes à l'écran : français

Supports : 1 DVD sur Xbox 360 et PC - 1 Blu-Ray sur PS3
Moteur graphique : IW 3.0 Engine
Définitions HD max (consoles) : 1080p en 60 fps
Difficulté :

Multi-joueurs : online
Abréviation : COD4
Prix au lancement : 70€
Score des ventes : 18 Millions (tous supports)

La zik de la semaine




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Call of Duty 4

Modern Warfare




Ce
Call of Duty 4 est l'un des FPS les plus marquants et des plus vendus de 2007
n'est désormais plus un secret pour personne, le développement des Call of Duty est alterné sur 2 ans entre les 2 studios fétiches d'Activision : Treyarch d'un côté et surtout Infinity Ward de l'autre. Treyarch est un peu le second-couteau, le studio "bouche-trou" qui développe les jeux intermédiaires, visant à occuper le marché avec son Call of annuel, en attendant qu'Infinity Ward sorte un gros épisode. Ce dernier justement, est né parce qu'au sein de 2015 Inc. (le développeur de l'excellent Medal of Honor : Débarquement Allié, qui aura eu beaucoup de succès) on trouvait que le jeu n'allait pas assez loin et qu'il n'était pas assez fidèle à l'histoire. Ainsi Infinity Ward est formé par d'anciens membres de 2015, qui ont entre voulu voler de leurs propres ailes et se défaire du joug d'un Electronic Arts pas assez ouvert aux expérimentations. En 2003 sort le premier Call of Duty et le succès est immédiat, alors le jeu ne voit le jour que sur PC.
2 ans plus tard ils reviennent et réitère ce succès critique et commercial avec un Call of Duty 2 encore meilleur, même si cette fois le PC se partage la vedette avec la tout récente Xbox 360 (nous sommes alors fin 2005). A partir de là, Activision va faire entrer Treyarch dans l'équation, afin de laisser plus temps à Infinity Ward pour développer son nouvel opus, mais aussi comme évoqué, pour occuper le marché à chaque fin d'année. Même si la Seconde Guerre Mondiale fait encore recette, chez Infinity Ward on veut changer d'air et à nouveau surprendre. Et puis difficile de le nier, en se tablant sur des faits relatés dans les livres d'histoire, il est difficile d'innover et de proposer un scénario réellement original.
Ainsi après le Call of Duty 3 de Treyarch, Infinity Ward va mettre un grosse claque au secteur vidéoludique avec son Call of Duty 4, très justement sous-titré Modern Warfare, pour bien faire comprendre aux joueurs que désormais, nous allons parler de guerres fictives mais contemporaines. Sur fond de menace nucléaire, nous avons un jeu qui mélange les genres dans une dynamique très nerveuse et maitrisée, tout en conservant l'héritage de la série. Call of Duty 4 aura tellement marqué son temps, qu'il sera la pierre angulaire qui évincera durablement cette Seconde Mondiale qu'on a que trop vue, au profit de guerres modernes nettement plus stimulantes. Un succès critique et commercial qui incitera la grande majorité des développeurs de FPS à suivre la directive imposée par cet épisode de génie. Retour sur "l'appel du devoir", un devoir comme on aimerait en voir plus souvent...



Scénario (spoil) : cliquez pour ouvrir



S'ouvrant
Premier véritable scénario pour la série, on parle désormais d'un conflit fictif mais moderne. La maitrise de la narration et de la mise en scène est mémorable !
sur le superbe trailer diffusé lors de l'E3, le jeu n'impose aucun réel loading. Lorsque les briefings entrent en scène, briefings qu'on croirait sorti d'un film Hollywoodien, le jeu en profite pour charger ses données en arrière-plan (aussi appelé streaming, un chargement des données en continu) afin qu'il n'y ait aucun temps mort pendant les missions. Une habile et intelligente manière de faire passer le temps, qui devrait inspirer les autres développeurs. Très hi-tech, souvent pourvu de 3D fil-de-fer et toujours agrémentées de vues satellites (on sait maintenant où va notre pognon), les scènes intermédiaires me font penser au film "Ennemi d'Etat" (avec Will Smith et Gene Hackman). Il y a aussi quelques cut-scenes qui soulignent un fait important, mais avec toujours une mise en scène à la première personne.
C'est la première fois qu'un Call of Duty s'enrichit d'un vrai scénario et il parvient à franchir ce pas avec succès. 2 points de vue sont proposés : celui de Soap MacTavish, une nouvelle recrue du SAS britannique (c'est avec lui que vous ferez le didacticiel) et celui du Sergent Paul Jackson, de l'USMC américain. Le scénario propose une guerre factice mais ô combien contemporaine, mêlant une menace nucléaire au danger d'un Islamisme extrémiste et fanatique, ainsi qu'un relent de guerre froide avec la Russie. L'héritage de la série est donc perpétué avec ce nouvel épisode, puisqu'on ne sera pas le John Rambo de service. En effet, on n'agit jamais seul mais en équipe, afin d'immerger le joueur dans une guerre superbement réaliste.
L'aventure est morcelée avec intelligence et si on prend la peine de prêter attention aux briefings, il n'y aura finalement aucun temps mort entre le début et la fin du jeu. Un jeu qui se termine certes un peu vite (environ 7 heures) mais qui a le mérite d'être nerveux de bout en bout, avec des situations et des conflits à gérer dans l'urgence. Sous ses airs de film de guerre interactif, on accroche immédiatement à cette dissension des pôles malgré les clichés ultra basiques de cette peur musulmane fanatique dopée par un 11 septembre malheureusement bien réel, comme de la sacro-sainte crainte d'une guerre atomique entre les USA et la Russie. N'empêche que ça marche fort et qu'on se sent concerné...


Notre
Merci Infinity Ward... enfin une guerre moderne :)
trio gagnant Soap/Jackson/Price, n'est pas aussi manche que dans bien des jeux puisque tout d'abord notre homme saura sauter par une fenêtre (action contextuelle), se servir d'armes fixes ou ramasser n'importe qu'elle arme laissée par les ennemis ou les compatriotes morts au combat. Dans Modern Warfare (littéralement "guerre moderne"), on ne peut porter que 2 armes, ce qui nous oblige à en changer souvent, selon la disponibilité de ces dernières, les goûts (forcément, on apprécie certaines armes plus que d'autres) ou encore les besoins du moment (comme un fusil de sniper ou un bon lance-roquettes pour réduire en poussière un hélico un peu trop collant).
Hyper réaliste lorsqu'on suit le parcours fléché qu'on nous impose, où des scènes monstrueusement impressionnantes se succèdent, il faudra aussi faire avec des scripts très voyants, souvent gênants, héritage de la série depuis ses débuts. Car il faut bien comprendre que les développeurs doivent faire un choix entre un jeu scripté et très axé sur le grand spectacle ou un jeu ouvert où il ne se passe (presque) rien. Call of Duty a prit position depuis longtemps. Ainsi presque rien n'est destructible, à part quelques babioles ça et là ou des voitures qui explosent dans un joli feu d'artifice. Mais il est frustrant de tirer au pompe sur une vitre sans quelle se brise, sur un projecteur sans qu'il ne bouge, sur une lampe sans que l'ampoule n’éclate. Idem pour le parcours. Hyper dirigiste au début du jeu, il s'ouvre un peu plus sur la fin mais la différence reste minime.
Dans Call of Duty comme dans Medal of Honor, on ne jouera jamais solo puisqu'on fait partie d'un corps d'armée, d'une équipe qui se complète. Cependant on sera souvent gêné par nos coéquipiers et notre personnage ne peut accomplir aucune action, pas même ouvrir une simple porte. C'est débile ! En fait le script se met en place en rassemblant nos compagnons d'arme autour de nous et l'un d'eux ouvrira la porte, porte qui sans ça, restera insensible à toutes à vos tentatives, même explosives. Bonjour le réalisme... Cependant il y a une bonne contre-partie : il ne se passe jamais rien sans nous, puisque nos coéquipiers nous attendent si on traîne.


La
Le gameplay est simple mais l'immersion atteint un degré insoupçonné
prise d'initiative ne sera donc que d'ordre "éliminatoire" où vous pourrez, lorsque le jeu vous en donne l'occasion, fouiller un peu les recoins afin de dénicher des ordinateurs portables, qui ouvrent ensuite à des bonus déblocables (ce que les développeurs appellent les "cheats codes" et qui entre nous, n'en sont pas...). En parlant de déblocage, malgré sa durée de vie très courte en solo, Call of Duty 4 jouit de l'un des meilleurs multi-joueurs qui existe à ce jour et voir l'épilogue débloque le mode Arcade, dans lequel on peut refaire certaines missions avec des objectifs supplémentaires de temps ou de points. Une bonne manière de faire perdurer le titre et son rapport temps/prix, qu'on pourrait juger trop désiquilibré. Cependant, il y a tout de même 2 détails qui m'agacent. Tout d'abord les grenades.
Les ennemis passent leur temps à nous les balancer et elles nous tuent en un coup. Normal vous me direz, mais le jeu vire vite à l'excès et ces grenades en deviennent pénibles, même si parfois on peut les renvoyer. Il est d'ailleurs absurde d'être tué par une grenade frag' alors qu'en "facile", on peut très bien encaisser une roquette... ça laisse réfléchir. Notez aussi que l'efficacité de ces même grenades est très aléatoire sur les ennemis, puisque la plupart du temps, elle ne tuera personne. L'autre détail, c'est que certains passages sont assez ardus et demandent qu'on recommence encore et encore. Le plus souvent c'est de la faute à un timing trop serré et à des ennemis toujours en surnombre. Pourtant le jeu n'est pas fonciérement difficile et aussi bête que ça puisse paraitre, lorsqu'on bloque, parfois la meilleure solution est de foncer tête baissée en dégommant tout ceux qui arrivent en face.
C'est crétin ? Oui mais le jeu nous y oblige et si la formule fonctionne, autant ne pas s'en priver. Personnellement, j'aurai préféré que ce soit plus équilibré, même si je sais que cette "mise sous pression" sert essentiellement la mise en scène. A l'inverse des Battlefield, ne vous attendez pas non plus à piloter le moindre véhicule (sauf dans le cas d'un bombardement de l'adversité via les airs - un passage assez jouissif d'ailleurs).


Par
La jouabilité est précise, les armes ont du punch, les scènes sont ultra dynamiques... le solo est certes court mais d'une intensité encore jamais vue !
contre, le jeu n'est pas avare en sensations fortes et en variations de situations. Entre autre niveaux originaux à temps forts, nous avons l'attaque d'un paquebot sous une pluie battante et par une mer déchaînée qui rappellera sans mal le baleinier de Cold FEAR. Il y aussi le tir chirurgical tout en "snipe" dans une Ukraine irradiée qui ne sera pas sans rappeler de (très) bons souvenirs aux amateurs du film "Shooter" avec Mark Walberg. On peut également y voir une sorte de clin d'oeil à S.T.A.L.K.E.R (sorti quelques mois plus tôt) avec ses zones contaminées, son compteur Geiger et ses mercenaires avec masque à gaz. Nous avons également l'attaque d'une base russe sur fond d'holocauste nucléaire, le tout avec une tension tout à fait palpable.
Enfin je vais vous remettre une dernière couche sur les armes et je vais vous parler de l'IA. Globalement, l'armement est très convainquant. Il n'y a que des armes réelles (parfaitement modélisées) avec une visée précise et fort agréable. Pas besoin de vider tout un chargeur sur un ennemi, la localisation est largement satisfaisante (les head-shots étant très payants), ce qui rend le jeu que plus crédible. Même blessés par un tir à l'abdomen ou aux jambes, les ennemis continuent d'attaquer, tant que la mort ne les délivrera pas de leurs enveloppes charnelles. Une gage de réalisme assez rare pour être souligné, réalisme appuyé par le fait qu'une arme puissante peut traverser le premier ennemi pour toucher celui derrière, et que les tirs traversent les matériaux de faible résistance (plâtre, bois ou tôle).
La visée du sniper est stabilisable en retenant sa respiration et l'effet de recul est bon. Enfin, l'IA est assez concluante. Certes elle compense quelques faiblesses par le surnombre, mais hormis quelques errances de gogols qui se laissent bêtement shooter ou foncent sur vous sans réfléchir, j'ai trouvé l'attitude des ennemis très persuasive : ils se mettent à couvert, appellent des renforts et cherchent toujours à buter le gars le plus dangereux. Tout ça pour dire que si Call of Duty 4 n'invente rien en matière d'FPS, sa prise en mains est irréprochable et sa mise en scène va vous faire vivre une vraie guerre (virtuelle). Le niveau de maitrise est tel, que la plupart des FPS qui lui succéderont (et pas seulement les Call of Duty) s'inspireront de lui, tant pour sa configuration des boutons de manette, que sa prise en mains jamais prise à défaut.


Pas
Le IW 3.0 assure un magnifique spectacle, Call of Duty 4 est l'un des plus beaux jeux de sa Génération !
aussi impressionnant qu'un Crysis ou un Unreal Tournament III, Call of Duty 4 pose tout de même ses marques et dispose d'un rendu parfaitement en phase avec son temps. Le moteur graphique tourne à merveille et a parfaitement été adapté à ses 3 principaux supports, à savoir le PC bien entendu, mais aussi la Xbox 360 ainsi que la PlayStation 3. Le jeu ne subi que de très rares ralentissements (limite insignifiants), preuve qu'il est bien optimisé en plus d'être beau. Et je tiens à souligner qu'après avoir goûté à la version PC, forcément un cran au dessus des autres, et bien j'ai été impressionné de voir à quel point les différences sont minimes avec les versions consoles. En plus, le moteur graphique inclut quelques fonctions assez sympathiques comme le "ragdoll" (gestion de la chute des corps) ou encore un HDR très convainquant, qui nous offre un somptueux jeu de lumière.
Les modélisations sont de qualité, les textures sont précises, les décors sont splendides et les animations, alliées comme ennemies, sont criantes de vérité (le mode course est très réussi même si appuyer sur le stick gauche pour l'activer n'est pas des plus pratique - pourtant ça deviendra rapidement "une norme", justement imposée par le succès des Call of Duty). Si les effets sont très travaillés (notamment des explosions et des fumées "volumétriques" vraiment superbes - c'est la grande fierté d'Infinity Ward depuis Call of Duty 2), on retrouve tout de même quelques manques.
On peut citer des ciels sous forme de "peintures" parfois peu détaillées, et quelques éléments mal dégrossis : les armes que portent les PNJs, quelques roues de camion (parfois hexagonales) ou encore quelques textures unies et fortement aliasées. D'ailleurs on voit que l'IW 3 posera les bases des moteurs graphiques modernes, avec clairement une dégradation visuelle sur les objets distants, puis des textures nettement plus détaillées sur les objets proches (le passage de l'un à l'autre à tendance à être visible sur grand écran). C'est cet affichage à 2 vitesses qui permet au jeu d'offrir un 60 images/seconde relativement stable et surtout, très agréable. Dans tous les cas, on ne peut que féliciter Infinity Ward pour le travail rendu, car à part quelques bugs, ce Call of Duty 4 est un jeu magnifique.


L'ambiance
Le doublage est bon, les musiques sont grandioses et les bruitages sont ultra dynamiques. N'hésitez pas à monter le son !
sonore est extrêmement chargée : les balles sifflent, les armes percutent avec puissance, les explosions détonnent... tout ça contribue à nous plonger admirablement en pleine guérilla. Le rendu sonore est donc grandiose, explosif et pour nous entrainer encore plus profondément dans l'aventure, Call of Duty 4 dispose une bande-son à la hauteur de son sous-titre, une bande-son encensée par des musiques orchestrales et dramatiques, vraiment magnifiques. Composées par Harry-Gregson Williams (responsable de la bande originale de certains grands films, ainsi que des superbes thèmes principaux des Metal Gear Solid 2 à 4) et Stephen Barton, les compositions interviennent souvent en plein combat, afin de leur donner le souffle épique dont manque pas mal de titres concurrents. Pour améliorer encore un peu plus cet état de fait, on retrouve un doublage impeccable. Certes il persiste quelques phrases foireuses (notamment celles du didacticiel) mais elles sont rares, la synchro labiale n'est pas à l'ordre du jour (tout du moins pas en VF) mais la plupart du temps les voix sont parfaitement dans le ton sérieux et parfois tragique du jeu. On retrouve donc un doublage en français pour nos alliés, des voix superbement doublées où Infinity Ward ne s’est pas trompé sur le casting puisqu'on retrouve des doubleurs issus du ciné comme Emmanuel Karsen (la voix française de Sean Penn). De plus, les voix ennemies sont restées dans leurs langues d'origine (arabe pour le Moyen-Orient, russe pour l'Ukraine/Russie), ce qui renforce l'immersion du joueur dans cette guerre quasi-réelle et fortement plausible. Un excellent travail qui fera date. Résultat, je ne saurai que trop vous conseiller de jouer au casque et avec un volume sonore confortable afin de profiter au mieux de l'excellence acoustique du jeu...



Conclusion

Call Note



of Duty 4 : Modern Warfare est sans réfléchir l'un des meilleurs FPS d'une année 2007 pourtant chargée en très bons jeux du genre. Certes il est difficile de passer après Crysis en terme de graphismes, mais Modern Warfare a réussi le pari de m'étonner à chaque instant. Dans une guerre moderne qu'on croirait sorti de l’esprit de maître Clancy, le jeu pose une ambiance ultra dynamique où on a presque envi de baisser la tête lorsque les balles sifflent. L'immersion du joueur va toujours plus loin, une immersion qu'on aurait aimé moins dirigiste et par moment plus crédible. Mais grâce à des revirements de situations, des rebondissements scénaristiques tel qu'il peut en survenir en temps de guerre, on accroche jusqu'au bout sans lâcher prise. Ce 4e Call of Duty (le 3e développé par Infinity Ward) tient donc le pavé haut du genre et le fait d'avoir délaissé sa pénible de Guerre de 40 vue et revue mille fois, lui fait le plus grand bien. Un grand jeu, à n'en pas douter, et un succès mérité qui aura un tel impact, que beaucoup de studios et donc de FPS qui lui succéderont, prendront exemple sur ce qui sera désormais considéré comme le nouveau maitre-étalon du FPS à grand spectacle...






Points négatifs

  Des grenades assez inefficaces sur les ennemis alors que eux, passent leur temps à nous en balancer
  Ultra scripté et ultra linéaire au service d'un spectacle de chaque instant
  Quelques pics de difficulté qui peuvent être irritants
  Mode campagne un peu court (environ 7 heures)


Points positifs

  Une campagne menée tambour battant, offrant un dynamisme et une immersion encore jamais vu !
  La qualité de l'armement, le rendu, les sensations notamment lorsqu'on joue à la manette
  La qualité mémorable des musiques, qui rendent certaines scènes encore plus épiques
  Rendu graphique de très haute volée et en 60 fps s'il vous plait
  Jouabilité agréablement précise, gameplay simple et accessible
  Scénario moderne et mise en scène parfaitement travaillée
  D'excellents bruitages, très percutants
  Une VF de qualité dans l'ensemble
  Un gros multi-joueurs






Test réalisé par iiYama


article initial : novembre 2010
mise à jour : novembre 2025


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